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NOTRE APPROCHE

Environnement et bien être
Consommer des vins biologiques et naturels est devenu un acte citoyen et de consommateur engagé. Acheter et consommer du vin bio, c’est favoriser une filière respectueuse de la nature et de l’humain au détriment d’une industrie agroalimentaire avide de profits.    .

Pourquoi le vin en particulier ?
“Avec 76 000 tonnes répandues sur son sol en 2008, la France est le premier consommateur de pesticides en Europe. Et la viticulture est le plus important consommateur du secteur agricole : si les vignes ne couvrent que 2 % des surfaces cultivées, elles consomment 15 % des produits phytosanitaires. Ceux-ci permettent certes de prévenir les maladies de la vigne (oïdium, mildiou, etc.), mais surtout d’abaisser les coûts de production de raisin. Ainsi le désherbage total par la chimie est-il près de trois fois moins cher que l’entretien des sols en labourant.” la Revue du vin de France

Le vin figure parmi les produits de consommation les plus controversés. La filière est régulièrement pointée du doigt et pour cause : c'est le secteur les plus gourmand en produits chimiques de toute l'agriculture française. Constat aggravant, c'est dans le raisin, puis dans le vin que l'on retrouve le plus de traces de concentration de molécules issues de l'industrie chimique dans le produit fini.
Cancérigènes, Mutagènes, Boscalid, Carbendazime, Fenhexamid, Folpel, Phtalimide, Pyriméthanil ; après avoir détruit toute vie sauvage sur des kilomètres carrés entiers… comment souhaitez vous être empoisonné ?

Pour le bien être.
Chez certains buveurs, les problèmes de santé commencent instantanément à partir de deux verres de rosé ou de blanc conventionnel. Maux de tête, sensation d'être enrhumé, nez bouché, toux, irritations de gorge et de la trachée. Les coupables ? Si la conséquences de la consommation de vins traités sur l’organisme est variable, le lien entre le SO2 (Sulfites) et ces troubles est connu et avéré. La présence de ce conservateur, que la loi autorise à l’usage en grande quantité a un effet irritant sur l'organisme. Pour vous rendre bien compte, il est tout a fait légal en France de proposer des vins contenant jusqu’à 400 milligrammes (pour les vins “spéciaux” Règlement (CE) 606/2009) par litre de SO2 ! En vin biologique, le taux de sulfites est réduit (environ -30%) par rapport au vin conventionnel. Ceci limite les risques et de nombreux vins biologiques se situent bien en dessous des normes en agriculture biologique, s'approchant alors du « vin naturel » sensé ne plus contenir de sulfites ajoutés.

Pour un cadre réglementaire.
Le cahier des charges en agriculture biologique est exigeant, et contrôlé. Dans l'agriculture conventionnelle les contrôles ne sont pas systématiques ; la réglementation n’imposant pas aux vignerons de devoir communiquer sur le contenu exact de leurs vins. Que contient ma bouteille ? C'est à la discrétion du domaine... En bio, au moins, un cadre réglementaire et des contrôles viennent s’ajouter permettant de limiter les risques.